Frédéric SOURIOU, électricien, auto-entrepreneur

Frédéric SOURIOU

Originaires de Touraine, Frédéric et sa famille sont arrivés sur la commune de Saint Mathurin il y a 5 ans, d’abord en location, puis, ayant apprécié la vie dans ce village, ils ont décidé d’y faire construire leur maison individuelle. Ils aiment le calme de notre localité, sa proximité avec la côte vendéenne et le pays des Olonnes, zone d’activités importante. De plus, le passage de la 2X2 voies, permet de se rendre rapidement à la Roche sur Yon. Comme dit Frédéric : « il y a tout à Saint Mathurin ! »

Salarié d’une grande entreprise d’électricité, il s’est retrouvé sans travail en raison d’un licenciement économique. Frédéric s’est alors adressé à « Pôle Emploi » qui l’a soutenu dans sa démarche de création d’auto- entreprise. Ce projet lui tient à cœur, car, il souhaite travailler avec des clients en direct, sans intermédiaire pour  bien comprendre l’attente de celui qui passe commande.

Comme il le dit si bien : «  le formulaire pour devenir auto-entrepreneur, à remplir sur internet, c’est facile,  mais il faut penser à toutes les charges afférentes à ce statut. Il ne faut pas faire n’importe quoi et partir sans réfléchir aux engagements envers les clients ».

Il a été accompagné par l’organisme « I.voir » guide professionnel pour bien cerner la complexité d’une telle décision : assurance personnelle, assurance décennale pour les clients sur le chantier terminé, protection de santé, de retraite etc… Frédéric est quelqu’un qui réfléchit, qui ne s’engage pas à la légère.

Il lance donc son auto entreprise d’électricité générale en neuf et en rénovation pour  tous travaux électriques, chauffage, dépannage. Avantage pour le client, exonération de la TVA.

Il est disponible de suite et souhaite commencer le plus rapidement possible pour créer son carnet d’adresses. Nous lui souhaitons bon vent !

Pour le contacter : par téléphone au  06 21 32 36 79 ; par mail : souriou.f@live.fr

                                                                                                                                        Texte et photo: Dominique Eugène

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